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La calvaire : quelle est sa signification évangélique et confidentiel ? Comment interpréter le personnalisation de la tau ? En quoi la tau peut-elle nous donner les moyens de aborder les arcanes de du monde ? La crucifix est un symbole remontant à des siècles, employé bien avant le Église. A la fois ancienne et contemporaine, la calvaire existe sous des modèles nombreuses, avec des sens et des sapience pouvant varier.
L’ânkh, ou crucifix ansée, est la croix de vie des Égyptiens. Elle correspond au graphisme qui signifie “vie”. Elle est fréquemment présente tenue dans la main des dieux. L’ânkh, marque identitaire important de l’Egypte désuète, peut être vu comme l’union des principes nautique et féminin. Déjà présente au âge de pierre, la tau solaire reste un empreinte identitaire celtique, puis un personnalisation roumi dans les îles britanniques. C’est une classique crucifix inscrite dans un cercle, joignant le dieu soleil, éternelle, ou bien l’organisation astral ( le cabinet innombrable et l’univers déployé ).
Retenons une initiation essentielle entre les pays de l’être et de l’Existence. Les états de l’Existence, même universelle, relèvent de la seule miasme. Les pays de l’être, , appartiennent tant au manifesté qu’au non manifesté. En effet, l’Être pur, Principe de la miasme, est non manifesté. L’axe direct donne l’indéfinité des pays d’être ou d’Existence depuis les pays mentals ou charmants les plus élevés jusqu’aux pays physiques ou terrestres les plus manifestes. Cette catégorie de métiers se répartit en 3 ordres, tant au niveau du microcosme ( physique/corporel, psychique/subtil et impalpable ) que du galaxie ( terrestre, atmosphérique et divine ).
Le évêque François remet au cœur de notre aisance l’objectif de l’être humain, soit celle d’entrer dans la «mystique du vivre ensemble», véritable raison d’être de notre vie sur Terre. L’Église explore aujourd’hui tous les moyens de noter un prenant, dans l’écoute, la communication, l’accompagnement. Nous devons prendre les valeurs chrétiennes, qui excluent l’exclusion. Nous avons moins nécessité de croix que de croyants qui savent rendre compte du sens de la Croix dans leur vie. Sachons être des «fervents de la vraie foi» habités de la présence de l’amour divines. Voilà le véritable sens qu’est arrivé procurer la Croix !
“Le grand liégeois de ce sel des sels sert à dans la tau : les aînés savant sont des trompeurs cupide, quand il ne lui ont donné qu’une origine divine, en le ébahissant par un cercle et une ligne loyal, car il renferme aussi la ligne diamétrale, dont ils ont typique le sel : de façon que ces deux bouille, qui sont assurément dans le nitre, font la figure du verd de gris des instruit, c’est-à-dire la croix intégrale et de qualité dans le cercle figure qui est le commencement et la consommation de tous les indices naturels : car ayant éléments, plus vif et d’air que d’eau et de terre, il doit pour cette raison les représenter aussi par sa figure : Or, le visage que nous avons marquée, renferme éléments et le miroir de la croix. Mais si vous êtes un véritable curieux et amatrice de la calvaire, en lui ouvrant ses viscère, vous y trouverez un mental rouge, soufre solaire, ou le sérum des rayons du soleil, d’une volatilisation idéale ; et puis vous trouverez dans la partie infime de son corps, une terre virginale saline, qui est le soda de astre de la nuit, l’histoire fixe et fixative de son physique et de son tête : Sendivogius l’appelle sel armoniac, ignoré dans l’abdomen de notre magnésie.
Le symbolisme psychologique orthodoxe a vécu son âge d’or le temps qui passe des cathédrales, ce qui signifie au Moyen Age, il a évolué mais est resté vivant à la Renaissance et il a connu un certain étiolement à partir des Temps Modernes. maintenant, il est plutôt l’affaire d’experts et si les générations d’avant la deuxième guerre mondiale ont encore eu des philosophie de symbolisme, ces idéologie s’effacent comme paysages sur le petits cailloux dans les nouvelles générations. Comment en est-on entré là ? La déchristianisation graduelle de notre société y est pour beaucoup, certes, mais le fait que les personnes qui pratiquent n’ont plus trouvé au sein du Église les guides qui avaient l’occasion de leur donner les clefs du symbolisme roumi n’y est certainement pas d’ailleurs détaché.
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